~Sawako Aya~

La vie n'est que souffrance.
anonyme

Les premiers lueurs de l’aube pénétraient à travers le volet mal refermer, l’obscurité révéla enfin un bout de lumière auquel la jeune fille mis quelques seconde à s’adapter. Le parquet grinça sous son petit poids d’à peine 35kilos, un parquet étrangement brillant, ciré et d’une propreté inégalable. Un sourire écarlate se lisait sur le visage habituellement si inexpressif, un sourire vrais, mais la journée s’annoncer spectaculaire…le ciel était au zénith et le ciel étais d’un bleu rubis extravagant. Le village de kazefuki était plonger dans une abondante chaleur si accueillante…seul un petit vent rafraichissant apaisa cette chaleur auquel les gens ne s’en passerais aucunement. A peine était-elle réveillé que déjà le vague grincement de la porte d’entrée retentis après un bref instant passer dans une salle que beaucoup nomme « salle de bain » ou encore « salle d’eau ».
C’est ce même vent dont je vous parlez tantôt qui caressa le visage lisse de la jeune fille. Les habitants déjà réveiller depuis l’aube ne cesser leur cris assourdissant, essayant en vain de vendre quelques une de leur marchandise…des plus réputer au plus rare. D’après la jeune fille qui s’empresser déjà de quitter ce lieu « infâme » ces habitants faisait ce travail sans être récompenser a leur juste valeur, se lever si tôt et s’user la voie toute une journée pour ne rien avoir le soir était si injuste…ne rien rapporter a la jeune famille qui l’est attendez la nuit tomber. Quelques marchand des plus piteux accoururent vers la jeune qui leur adressa un regard d’une froideur à vous glacer le sang…ils n’insistèrent pas c’était perdu d’avance et ils savaient que si il venait par malchance à insister c’était a leur risques et péril. Le chemin où se diriger à présent la jeune fille était étroit et vaste, parsemer d’un sable des plus rare, brulant, blanc et si doux qu’on ne pouvait en tenir ne ceresse qu’un seul grain dans une main. C’est exciter et impatiente qu’elle atteignit d’un pas rapide l’entrer du village de kazefuki, tenu par deux gardes qui sourirent a Aya qui arriva au sautillant sur le sable brulant formant ainsi un nuage de poussière salissant quelques peu le kimono auparavant blanc qui orner son corps de la tête aux pieds. Mais en aucun cas la jeune fille aurait pris soin de leur rendre leur sourire, tous le monde était au courant qu’aujourd’hui était une journée pas comme les autres pour la jeune Aya, en effet cela faisait deux an jour pour jour qu’elle avait accordé son amour a un garçon d’un an plus vieux, d’une beauté immaculé…Idate. En ce jour de fête ils décidèrent bien vite de se rendre dans un village dont les rumeurs étaient des plus attirantes, un des cinq villages les plus forts, parsemé d’une verdure dite écarlate…Hiyouzu. Quelques pas en plus suffisèrent amplement, enfin le désert aride se dressa de toute sa splendeur devant elle, un paysage dépourvu de toute
trace humaine, désert aride avec comme seul repère des vaste étendue de sable a des kilomètre a la ronde, voila la description de beaucoup de gens a propos d’un désert, mais que savent-ils réellement de ce paysage sortit tous droit du paradis ? Peut-être n’est-il pas parsemer de verdure écarlate mais le désert et simplement différent…au ce monde se qui et différent et qualifier de « bizarre », baliverne pour Aya…la peur du renouveau et de l’insouciance hante les gens.

C’est sous ce soleil de plomb et ce ciel bleu rubis…auquel aucun nuage n’aurait osé gâcher…que la jeune fille s’en alla sous les dunes de sable se dressant devant elle à la recherche de l’homme de sa vie, un homme qu’elle trouva bien vite, l’amour les aurait-ils fait se rejoindre ? Où étais-ce le plus grande des hasards de se retrouver si vite dans ce si vaste désert au sable blanc. La jeune fille enleva d’un geste gracieux les quelques mèche de cheveux brun qui cacher une partis de son village qui ne faisait plus voir un visage froid et haineux mais un visage épanouie de bonheur. Un baiser clôtura leur retrouvailles, un long baiser qui paraissais interminable, un baiser rempli d’amour auquel Aya aurait voulu que jamais ce jour ne disparaisse. Après ces retrouvailles mouvementés ces mains dans la main qui entreprirent le long chemin leur menant tous droit a leur lieu de destination.

Plusieurs heures passèrent…des heures qui auraient été des plus épuisantes pour un simple homme…seul. Mais accompagner par ce blond aux yeux bleu prénommé Idate ces heures devenait extraordinairement épanouissante. Le chemin emprunter étais pourtant si long mais nos deux tourtereau atteignirent Hiyouzu étrangement vite…les heures étaient devenu minute…la jeune fille aurait aimé que le chemin soit interminable et jamais ne finisse…jamais elle n’aurait imaginé se qui aller se passer dans peu de temps. Le plus grand village du monde ninja se dressant de toute sa hauteur devant eux et les deux ninja qui n’avait encore jamais pénétrer à travers Hiyouzu furent impressionner de la beauté écarlate que laisser échapper le village, le vert extravagant s’apercevait a des kilomètre a la ronde…les rumeurs était donc si vrais…mais kazefuki étais tous aussi attirant…différent certes…mais tous aussi jolie. Aya ainsi que son compagnon ne purent empêcher le sourire si rare qui monta a leur lèvre, ils s’embrassèrent de nouveau fier de constater que leur deux ans d’union se ferait dans ce village qu’on aurait pus qualifier de « paradisiaque ». Deux gardes s’empressèrent de les interpeller et leur demande la raison de leur venu…la voie rauque révélant toute la maturité d’Idate se fit percevoir…mais très vite percer par un cri de douleur et une couleur rouge vif pourtant si belle.

Ce sang provenait d’un homme, l’homme n’était nul autre que l’homme qui avait été tant aimé par Aya, le choc fut brutale et instantané…une attaque si rapide n’aurait été impossible a contré pour un simple genin, le corps gisant sur le sol étais à présent libéré de la souffrance de la vie…la vie d’Idate lui avait été soudainement retiré sous les yeux horrifier de la jeune fille si fragile malgré les apparences, celle-ci se pencha droit vers le responsable de cet attaque inattendue, ces yeux tantôt rempli de larme devinrent rouge et des plus horrifier…le responsable n’était autre que le hokage en personne. L’assassin disparut en poussière après un rire interminable…la jeune genin s’en alla loin du corps gisant de son amant, l’herbe étais à présent rouge écarlate, le propre sang de son compagnon qu’elle aimé tant…aucune larme ne parvenu a ces yeux exorbitée et ces dans un souffle couper qu’elle atteignit la forêt.

Le soleil était déjà bien cacher et il laissa place à une pleine lune magnifique, le ciel étoilé qui se trémoussait au dessus de la jeune fille et le silence qui rodât dans le village lui fit comprendre que l’heur était venu. Un simple coup d’œil sur quelques kunaï, shuriken et un katana retiré dans le plus grande des discrétions sur le corps à présent totalement nu d’Idate puis la genin se mit en route d’un pas décidé…peu lui importer de mourir elle n’avait plus rien à perdre de sa pathétique et misérable petite vie. Une fois sortit de l’obscurité de la forêt elle parvenu au centre-même du village et se coucha sur l’herbe et tous les sens en ébullition elle put même parvenir à écouter le bruit des pas des plus petits insectes se trémoussant dans l’herbe…devenant peu à peu humide. Quelques gouttelettes firent leur apparition, puis tout une tempête…de l’eau déferla sur l’herbe qui se recroquevilla sur elle-même, personne n’aurait oser sortir sous ce temps infâme mais se n’étais pas une simple pluie qui arrêterais Aya…le jour de sa naissance, cela faisait treize année, treize année d’insouciance où lorsqu’il en avait l’occasion le monde prouver a Aya qu’elle n’avait pas sa place…le monde haïssais Aya dès sa naissance et dès sa naissance Aya haïssais le monde. Au contraire la pluie l’aida a ne montré aucune trace de sa présence, et si par malheur quelqu’un la croiser elle avait un plan…il suffisait de dire qu’elle se diriger vers le bureau de l’hokage pour signaler sa présence car elle avait l’intention de rester quelques jour et qu’elle ramper car elle avait trébuché…du haut de ces treize ans son intelligence étais déjà bien développer. C’est sans difficulté qu’elle atteignit le plus grand bâtiment du village…ressemblant étrangement a celui de son village natale. Se redressant sur ces jambes pleine de terre transformer en boue elle tira avec la plus grande des discrétions sur les deux porte qui a son plus plaisir ne grincèrent pas comme celle du village cacher du vent.

Un long couloir rempli d’un carrelage plan donnant une forte impression de froideur et des murs noirs en signe de respect se dressa devant elle, personne ne se voyait à l’horizon. Les pas de la jeune fille étaient muets, marchand sur la pointe des pieds elle atteignit l’escalier tournoyant sur lui-même avant de ressentir une main froide enroulant sa bouche, elle ne put malheureusement pas agir mais ces pieds libres elle cogna de toute cette force…en vain. Un membre d’ANBU sans aucun doute, un masque recouvrait son visage, il regarda Aya avec un air absent tandis que celle-ci le regarda plein de haine avant de lui mordre la main et d’enjamber a grande vitesse l’escalier, ces pas résonnèrent à présent dans tous le bâtiment réveillant ainsi la plupart des gens, lorsqu’elle se retourna sa tête frôla quelques chose de dur…révélant la musculature d’un homme…l’hokage. Le petit coup de poings d’Aya ne firent pas effet pour le moins du monde, la haine a son comble elle s’écroula en sanglot dans l’escalier lorsque elle fut brusquement soulever d’une seul main par l’hokage et placer dans son bureau…le son de sa voie se fit entendre, entrecouper par quelques reniflement :

« Espèce d’assassin je vais te tuer…je te déteste et m’en fou de mourir ou pas mais tu mourras avec moi. »

Le jeune homme assez charmeur esquissa un sourire plein de rancune puis s’agenouilla devant elle avant de la prendre dans ces bras en prononçant les mots en signe d’explication…des mots qui firent qu’Aya se tus et vida les larmes qui la hanté depuis la veille :

« Écoute jeune enfant, je sais se que tu ressens mais jamais je me serais permit de tuer des nouveau venu dans ce merveilleux village, pas plus que deux jeune gens amoureux comme tu l’était avec le prénommé Idate je crois…mais malheureusement je ne suis pas responsable de la mort de ton amis, une personne, un ninja très expérimenter a pris mon apparence mais très vite repousser par mes gardes il tua ton ami en signe de vengeance, mais je te promet que ce village fera en sorte de retrouver cet assassin, ton ami sera venger… »